Mode interactif :
	./minicas

Mode batch :
	./minicas < fichier
	./minicas fichier
	
	Le fichier en question doit etre terminé par la commande 'quit',
	ainsi qu'un saut de ligne.
	Il est possible d'insérer des commentaires (qui seront affichés
	en console) en commençant la ligne par le symbole dièse (#).

Syntaxe d'une commande (exceptée 'speedtest') :
	nom_matrice(ou_variable) : commande(arguments, ...)
	Les espaces sont facultatifs.
	Exemples :
		a:7
		B:matrix([1,2])
		C:matrix([4,-a])
		A:mult_scal(B,-a)
		r:rank(A)
		C:display

Commandes :
	addition(A,B)
	sub(A,B)
	mult(A,B)
	mult_scal(A,s)
	expo(A,n)
	transpose(A)
	determinant(A)
	decomposition(A)
	solve(A,B)
	invert(A)
	rank(A)
	speedtest commande min max pas [secondes]
	display
	
	Toutes ces fonctions renvoient une nouvelle matrice,
	sauf determinant et rank qui renvoient un nombre,
	et decomposition qui renvoie DEUX matrices :
	A : decomposition(A) crée la matrice A_L et la matrice A_U
	(B : decomposition(A) aurait renvoyé B_L et B_U),
	ainsi que speedtest et display qui ne renvoient rien.
	
	Si les préconditions sur les matrices ne sont pas respectées,
	un message d'erreur s'affiche à l'écran pour les rappeler.
	

Commande display :
	On peut demander au programme d'afficher toutes les variables et/ou
	toutes les matrices définies, grâce à la commande :
		*:display (variables et matrices)
		*V:display ou *v:display (variables)
		*M:display ou *m:display (matrices)
	On peut également afficher une seule variable/matrice :
		nom_var/mat : display

	
Commande speedtest :
	Pour arreter la commande speedtest en cours,
	appuyer sur Ctrl-C. Le calcul en cours se termine alors normalement,
	puis le programme sort de la boucle itérative et génère le graphique.
	Le graphique généré présente un axe jusqu'à la 
	dernière taille de matrice calculée.
	La commande speedtest fonctionne avec toutes les autres fonctions,
	sauf matrix et elle-meme evidemment.
	L'unité de temps est modifiée en fonction du temps maximum atteint
	(le dernier calculé avant sortie de la boucle).
	De plus, l'axe des abscisses est allégé si les données sont nombreuses,
	afin de faciliter la lecture.

Détail :
	Si l'utilisateur (ou la lecture dans un fichier) entre plus de 5 fois
	de suite un appel à une commande non implémentée, le programme affiche
	un message d'erreur et termine. Cette valeur (6) est définie dans la 
	constante 'FNI' contenue dans minicas.h (#define).
	
	Si un symbole est déjà défini, il peut etre "écrasé" par redéfinition.
	Exemple :
		A:matrix([A,2][3,4])
		A:matrix([4,3,5,6])
		A:display
			Matrix A :
				[ 4 3 5 6 ]
		
	En revanche, si la commande tappée comporte des erreurs
	(préconditions sur les matrices, erreur de syntaxe), le symbole
	n'est pas redéfini ni supprimé.
	
	Une variable et une matrice peuvent avoir les memes noms sans que
	cela ne pose problème. Exemple :
		X : -15
		X : matrix([X, -X][1, 8])
		# la commande suivante écrase la VARIABLE X
		X : determinant(X)
		# la commande suivante écrase la MATRICE X
		X : addition(X,X)
	
	Cependant, comme il est possible d'affecter une valeur à une
	variable, ou une matrice à un objet matrice, en faisant appel
	à la référence d'une autre variable/matrice, il est conseillé
	d'éviter de donner les memes noms entre variables et matrices.
	Exemple :
		a:2
		B:matrix([1,a,3])
		# la commande suivante définit C comme une matrice égale à B
		C:B
		# la commande suivante définit B comme une variable valant -a
		B:-a
		# la commande suivante définit D comme une variable valant B (donc -2)
		# le référencement s'applique en priorité sur les variables
		D:B
		*:display
		
		En l'occurence il n'est plus possible de "cloner" la matrice B.
		
	La commande display affichera la matrice correspondante, ainsi que
	la variable correspondante si elle existe.